Conçue avec le support de grands joueurs en technologie comme Google pour l’infrastructures et Geotab, qui nous permet d’accéder à la plus riche banque de données véhiculaires agrégée dans l’industrie, cette solution assure des analyses comparables, un volume surprenant d’informations critiques et une sécurité irréprochable pour répondre aux besoins des entreprises pour la première étape de la migration : la planification. Les bénéfices de cet outil s’étendent aussi aux entreprises qui font leurs premiers pas vers une opération plus verte puisque les mesures de consommation thermique pré-transition peuvent améliorer les habitudes de conduite et optimiser l’usage de carburant des véhicules non encore éligibles à la migration. Avec une meilleure performance, les entreprises obtiennent une réduction des coûts opérationnels et des émissions de GES en même temps.
Par ailleurs, les enjeux ne s’arrêtent pas là puisque les véhicules électriques génèrent des données télématiques et d’instrumentations différentes de celles des véhicules conventionnels. « C’est pour cette raison que, depuis longtemps, nous travaillons étroitement avec les OEMs. Notre compréhension des VÉ est unique dans le marché. Après le déploiement d’une de nos solutions sur une flotte totalement ou partiellement électrique, les gestionnaires peuvent accéder à des rapports sur la consommation d’énergie. Que ce soit pour un véhicule léger, lourd ou un autobus, il est donc possible d’établir une cible de réduction des GES réaliste selon l’historique de la flotte et suivre l’évolution. Ils peuvent recevoir des notifications de niveau de batterie pour indiquer le besoin imminent d’une recharge, prioriser l’ordre de charge de la flotte, centraliser et simplifier la ronde de sécurité des véhicules (RDS), sans oublier la traçabilité qui pourrait être demandée par l’industrie. Dernier point mais non le moindre, les entreprises comptent avec le service de soutien d’AttriX, reconnu pour son agilité, efficacité et cordialité. Cela comprend de nombreuses formations gratuites ou à la carte pour améliorer la conformité et le bon roulement des affaires, » complète Anthony.
Une fois les véhicules éligibles identifiés, il est nécessaire d’évaluer d’autres données critiques : le besoin énergétique et la disponibilité d’électricité sur le site de chargement. Par exemple, un camion de catégorie 6 pour des livraisons du dernier kilomètre, avec une autonomie de 340 km, aura besoin d’une borne de niveau 3, préférablement avec une puissance entre 250 et 350 kW pour une recharge rapide (minimum 2 heures). Les travaux d’infrastructure doivent être estimés avec attention et dépendent de la disponibilité du fournisseur local d’énergie.
Lors de son allocution au sommet international sur le climat organisé par le gouvernement américain en mai 2021, le premier ministre Justin Trudeau a expliqué que le prix carbone atteindra les 170 dollars la tonne d’ici 2030. Si l’industrie du transport espère contribuer effectivement à atteindre l’objectif de réduction de 40 à 45 % des émissions de GES à la fin de cette période (par rapport au niveau de 2005), les entreprises qui souhaitent bénéficier d’une image positive et de résultats financiers solides doivent se mettre en action aujourd’hui. Demain il sera trop tard.
À propos d’AttriX
AttriX est une compagnie québécoise qui contribue chaque jour à l’amélioration des habitudes de conduite des chauffeurs à travers l’Amérique du Nord. Grâce à sa populaire solution Challenge Chauffeur et ses solutions de gestion de flotte intégrées conformes à la réglementation canadienne, AttriX se positionne en tête de lice pour satisfaire les besoins complexes des transporteurs canadiens.